Cela faisait un petit moment que je tenter tant bien que mal de gerer Al Taïr, mais, le jeune arabe avait desormais envie de s'amuser, et dans ce cas la, tu as l'impression d'avoir une bombe sous le cul. C'est d'ailleurs pour cette raison que j'ai laché l'elastique que je tendait en l'empecher de partir plein cul. Et la, j'ai vut mon dernier jour arrivé. Taïr était... comment dire... Au triple galop, comme un fou, a zigzaguer entre les arbres. Mais lorsqu'une grotte lui apparut, il... pila et je me sentit faire un bond. Pourtant, je resta bien collé a la selle.